
Auteur : RJ Scott et V.L. Locey
Maison d’édition : Auto-édité
Service presse
Romance – Homosexualité – Sport – Littérature gay et lesbienne – Romance Contemporaine – Romance M/M
Quand une famille passe de trois à cinq membres, le voyage est nécessairement compliqué, mais l’amour trouve toujours une façon d’y arriver.
Stan Lyamin a réalisé beaucoup de ses rêves. Il a trouvé son âme sœur, a soulevé la coupe, et sa mère vit avec lui dans son nouveau pays. Le seul rêve qu’il lui reste, c’est d’avoir une grande maison remplie d’enfants. Bien qu’il adore le fils qu’il partage avec Erik, il fantasme toujours sur un foyer bruyant, aimant et excentrique, débordant de rires d’enfants. Quand un membre lointain de sa famille décède, Stan et Erik tombent immédiatement d’accord pour adopter les deux orphelins, mais cela signifie que Stan doit retourner en Russie, une idée qui le ravit et le terrifie à la fois.
Le monde d’Erik bascule sur son axe quand un coup de téléphone les réveille, Stan et lui, au milieu de la nuit. Soudain, Stan retourne en Russie, conclut des marchés, travaille avec des gens qui connaissent des gens, et est déterminé à ramener deux enfants orphelins dans la maison qu’il partage avec Erik. La paperasse est accablante et Erik est seul à Harrisburg pour tenter d’accomplir la tâche presque impossible consistant à trouver une nourrice parlant couramment le russe. Se retrouver seul est déjà assez désagréable, mais craindre pour la sécurité de Stan et pour les problèmes de l’équipe l’empêche de trouver un bon équilibre.
Nous retrouvons Stan, mon Railers préféré, dans une situation bien complexe.
Vivre avec et à travers lui son retour dans son pays natal est assez éprouvant émotionnellement. Le lecteur découvre un autre visage du gardien. J’ai aimé cette partie du roman, même si elle n’est pas des plus joyeuses. Elle apporte tout de même un joli bouleversement dans la vie de Stan et Erik.
De retour sur le sol américain, nous retrouvons notre Stan, comme nous le connaissons. Lui a toujours rêvé d’une grande famille, le destin lui permet d’accéder à son souhait. Si tout n’est pas simple, accompagné d’Erik, il gère comme il sait le faire, avec humour et pragmatisme.
J’aime tellement Stan. Tout en sensibilité, il nous offre une histoire touchante.
Les Railers sont toujours là, en soutien pour leur gardien.
Stan et Erik restent mon couple favori et cet opus me le confirme une fois encore.
– L’ambiance générale du roman
– La sensibilité de Stan
– La famille des Railers