Les Animaux Fantastiques : les Secrets de Dumbledore

Le professeur Albus Dumbledore sait que le puissant mage noir Gellert Grindelwald cherche à prendre le contrôle du monde des sorciers. Incapable de l’empêcher d’agir seul, il sollicite le magizoologiste Norbert Dragonneau pour qu’il réunisse des sorciers, des sorcières et un boulanger moldu au sein d’une équipe intrépide. Leur mission des plus périlleuses les amènera à affronter des animaux, anciens et nouveaux, et les disciples de plus en plus nombreux de Grindelwald. Pourtant, dès lors que que les enjeux sont aussi élevés, Dumbledore pourra-t-il encore rester longtemps dans l’ombre ?

Le cinéma près de chez moi organisait un marathon à l’occasion de la projection en avant-première de ce troisième opus. Je ne me suis pas fait prier pour prendre ma place !

Entre les changements et la révélation annoncée à la fin du film précédent, j’avais hâte de découvrir ce nouvel épisode.

Dès les premières scènes, le spectateur est replongé dans l’univers magique et dans l’intrigue liée au retour de Grindelwald.

Comme pour les films précédents, les effets visuels sont très réussis, nous emportant immédiatement dans le wizarding world. Les costumes sont toujours aussi magnifiques et collent tellement bien à la période historique. La bande-son est, elle aussi, très bien adaptée à ce troisième volet.

J’ai retrouvé avec bonheur Norbert et Jacob, qui est sans aucun doute mon personnage chouchou. Alors que de nouveaux protagonistes apparaissent, d’autres prennent une place plus importante. Dumbledore se révèle un peu plus à notre plus grande joie. Si les liens qui unissent Albus à Gellert sont clairement abordés et assumés, ne vous attendez pas à de grandes déclarations. Cet aspect là de leur histoire reste très politiquement correct.

Les animaux fantastiques sont toujours là et jouent, une fois encore, un rôle clé dans les aventures de nos sorciers préférés.

Toutefois, je garde une grosse déception sur le remplaçant de Johnny Depp. En effet, le « nouveau » Grindelwald a le charisme d’une moule trop cuite. Mads Mikkelsen n’a pas la stature pour jouer le Grand Grindelwald. Si encore un effort avait été fait au niveau du costume ou du maquillage pour que son personnage se rapproche de « l’original », peut-être que l’illusion aurait pu être là, mais pas du tout. On passe d’un acteur qui incarnait totalement le personnage de Grindelwald et tout ce qu’il représente à un acteur qui incarne Monsieur tout le monde.

J’ai vainement attendu tout le film de voir arriver le méchant de l’histoire et je l’attends toujours.

Dans l’ensemble, je suis assez satisfaite de ce troisième volet malgré ma déception précédemment évoquée. Certaines questions trouvent une réponse, même si d’autres surviennent. J’avoue que j’attends la suite avec impatience. Je ne vois pas trop vers quoi les scénaristes peuvent se diriger.

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