Shifter Rescue, Tome 4 : L’Enfant du guerrier

Auteur : Victoria Sue
Maison d’édition : Auto-édité
Lecture plaisir

Famille – Métamorphes – Romance M/M – Grossesse masculine – Omegaverse

Que faudrait-il pour tout abandonner ?
Pratiquement rien.

Red « Matthew Carter » a fui la meute en apprenant que son compagnon est né pour devenir le Prince tigre, et sachant qu’il ne serait jamais digne de lui. Il estime que sa vie est finie depuis qu’il a dix-sept ans, tandis que celle de Bodhi est une étincelle brillante et que son avenir est déjà tracé.

Ça aurait été simple si Bodhi avait accepté de rester loin de Red.
Mais il ne l’entend pas de cette manière.

Kidnappé alors qu’il n’était qu’un nouveau-né, Bodhi a passé son existence à se terrer. Se cacher de ceux qui lui voulaient du mal, et de lui-même. Il sait que Red est son compagnon, qu’ils sont liés par la perte et confrontés à un avenir qu’aucun ne souhaite. Peut-être le moment est-il venu de changer leur destinée ?

La seule arme dont Bodhi dispose est l’amour, et il n’est pas prêt à perdre ce combat.

Depuis le temps que le tome précédent est sorti, je craignais d’avoir du mal à me re-situer. Une fois les 2-3 premiers chapitres passés, j’ai retrouvé mes repères et j’ai pu profiter de ma lecture.

Si dans l’ensemble, j’ai passé un bon moment avec ce nouveau duo, le manque de fluidité et les transitions parfois hasardeuses de certains passages m’ont gênée. Habituellement, je n’ai pas ce problème avec les autres romans de l’auteur édités en maison d’édition.

L’intrigue tourne ici autour de Red et Bodhi. La mixité de leurs deux espèces est un vrai sujet, tout comme la particularité de de Bodhi.

J’ai aimé la dynamique de tous les omégas avec Bodhi. Ce sentiment de camaraderie et de fratrie est très plaisant et touchant.

Red, quant à lui, reste plus fermé que Bodhi mais forme un noyau solide avec Ryker, Zeke et le reste de la meute.

L’ambiance générale du roman reste agréable dans l’ensemble.

– Le style de l’auteur

– L’ambiance générale du roman

– L’intrigue

– Le manque de fluidité dans l’écriture

– Les transitions entre certaines scènes parfois difficiles

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