Ces liens qui nous éloignent

Auteur : Amina Archer
Maison d’édition : Auto édité
Service presse

Roman M/M – Romance – Estime de soi

Où commence l’égoïsme lorsqu’il s’agit d’être heureux ?

Une romance touchante entre deux hommes aux prises avec les douleurs qu’ils taisent au fond d’eux.

Ruka cherche à faire la paix avec Haruna, sa soeur qu’il n’a pas vue depuis sept ans. Leur relation a toujours été plus qu’orageuse. Il survit plus qu’il ne vit entre sexe, drogue et alcool.

Sören mène une vie bien rangée, famille aimante et petite amie aux petits soins. Son cocon rassurant est tout ce dont il a besoin et pour le protéger, il est prêt à tous les sacrifices.

Leur rencontre va bouleverser les deux hommes, qui sont autant attirés l’un par l’autre que leur relation est impossible : la sœur de Ruka n’est autre que la petite amie de Sören. Comment pourraient-ils accepter leur attirance respective quand elle pourrait tout faire s’écrouler ?

Découverte de l’auteur.

Je dois avouer que j’ai été attirée par la couverture et le résumé en premier lieu. Dès les premières pages, j’ai découvert des personnages complexes et mystérieux. Très rapidement, les liens qui rattachent les différents protagonistes de l’histoire apparaissent et laissent entrevoir une lecture douloureuse en termes de relations sociales et personnelles.

Ruka et Sören ne peuvent pas être plus différents qu’ils ne le sont. Tels le jour et la nuit, tout les oppose et pourtant… Dès leur première rencontre, un lien se crée entre eux sans que ni l’un ni l’autre ne le comprenne vraiment.

Malgré un résumé qui avait tout pour me séduire, je n’ai pas succombé à cette romance. En effet, le style de l’auteur ne m’a pas permis de m’immerger dans l’histoire de Ruka et Sören. La syntaxe très particulière choisie pour l’écriture de ce roman m’a fait perdre le fil de ma lecture plus d’une fois. Complètement déconnectée du fond, je me suis focalisée sur la forme, passant à côté de ce qu’offrait l’auteur.

Malheureusement pour moi, la magie n’a pas opéré. Un avis étant subjectif, je vous invite tout de même à vous faire votre propre opinion sur ce roman.